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[autoplay] “Parce que la science nous balance sa science, science sans conscience égale science de l’inconscience.” [en cours]

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Message par Solus sas Laïus Mar 16 Juil - 16:30

Solus main theme:




Solus sas Laïus

Diamant



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♦ Statut : Professeur.
♦ Travail : Professeur de Physique-Chimie, travaillant dans la recherche.
♦ Origines : Inconnues.
♦ Logement : Un manoir avec un laboratoire sous terrain, dans lequel il travaille avec d'autres chercheurs.
♦ Pouvoir : Elder God. (Pouvoir dimensionnel.)
♦ Sexe : ♂.
♦ Âge : 26 ans.
♦ Taille : 1m 87.
♦ Yeux : Rosés, la pupille devient noire sous l'influence de son pouvoir.
♦ Cheveux : mi-court mi-long, blanc immaculé.
♦ Peau : Blanche pâle.
♦ Corpulence : Mince et élancé.





Mental

♦ Traits de caractère : Solus est un homme d'intellectualité supérieure au reste de la plèbe lambda. En effet, ce scientifique est un as de la physique couplé à beaucoup de connaissances en biologie et en mathématiques qui possède un grand intérêt pour l'Humanité depuis son plus jeune âge. Il aime les observer tous, un par un et fait donc un excellant malade mental notoire . L'honneur et la connaissance sont ses atouts les plus mis en avant et juste après cela, ses rêves. Laius a toujours rêvé depuis l'âge tendre d'être au-dessus et cela a toujours concordé avec ses capacités hors-normes. Il s'est alors mit à réfléchir à comment y parvenir... Comment être au cœur de l'univers ?

Créer son propre univers virtuel parallèle. En voilà une élucubration pour le peu... Originale. Et pourtant ! Le bougre s'y offre corps et âme. Le Docteur en physique possède une équipe de recherche et de codages avec qui il travaille d'arrache pieds afin de modéliser le monde entier. Le projet est encore en cours mais avance peu à peu, caché à la société. Ses amis, ses ennemis, les continents... Tout. Dans la vie réelle il vous écrase mentalement et dans son propre monde il vous contrôle comme ses propres marionnettes. Qui sait ce qu'il fait avec la réplique de votre corps ?
♦ Aime : La science, le dévouement, l'élégance, l'électronique. C'est un grand accroc de jeux de hasard, car il ne peut pas en déterminer un algorithme.
♦ Déteste : Solus déteste très peu de chose car il a toujours une capacité à relativiser, et donc trouver quelque chose qu'il aime dans absolument tout ce qu'il voit. La haine est quelque chose de limité, pour des êtres limités.
♦ Autre : A la recherche perpétuelle d'une exquise perfection !

Physique

 Le Docteur Solus est un jeune homme avec une morphologie atypique. En outre, il possède des cheveux mi-court mi-long d'une blancheur immaculée. Cela provient du syndrome de Marie Antoinette à cause de divers traumatismes durant son premier âge. Ses yeux sont d'une couleur rosée, formés en amande. Quant à sa peau, elle est blanche pâle tout comme ses dents qui viennent ajouter un air séducteur à son sourire... Qui est la plus part du temps, un sourire qui semble libidineux. Son haleine sent constamment la menthe forte car il a un faible pour les chewing-gums.
Son enveloppe corporelle est élancée, atteignant le mètre quatre-vingt et presque le quatre-ving-dix, sec et légèrement sculptée. Solus prête à penser qu'il fait attention à son régime alimentaire, mais il a un faible pour tout ce qui est sucré, qu'il consomme sans modération. Lorsqu'il se déplace, il a une démarche élégante, classieuse. Il aime que les regards se posent sur lui.
Laius possède deux types de tenues dans le monde réel.
Sa tenue habituelle : Toute blanche, c'est un très long manteau dont il ne met jamais les manches. L'intérieur de celle-ci est violet, assorti aux quelques motifs de son bas de smoking blanc.
Sa tenue de combat :Avec cette tenue, Laius se lâche. En effet, plus de blanc hormis la fourrure de son manteau dont il ne met pas les manches une fois de plus. En dessous, il porte un T shirt violet à motif noir. Ses gants sont noirs également. Cette tenue laisse visible ses différents tatouages noirs. Avec cet accoutrement, l'homme aime laisser ses cheveux décoiffés. Il s'équipe de ses nouvelles inventions, des armes qu'il test avant de les céder au monde du marketing.
combat:
Dans son monde virtuelle, son avatar a les cheveux longs et des pupilles noires.

Pouvoir

♦ Rang : A.
♦ Avantages et ampleur : Elder God permet à Solus de plonger une personne dans une dimension alternative avec lui. Il peut la modeler comme il le désire et se battre en toute tranquillité face à un individu à l'intérieur de celle-ci, son pouvoir ayant évolué au rang A, il peut utiliser le décor pour favoriser son combat. Une fois dans la dimension parallèle, Solus a la même apparence que dans son monde virtuelle. (Cheveux longs, etc...)
♦ Inconvénients et limites : L'utilisateur ne peut pas plonger une autre personne à l'intérieur et la limite de temps est de 10 minutes. (Le temps s'écoule plus lentement dans sa dimension.) De plus, pour ressortir il faut que les deux personnes entrées soient encore en vie et le retour au monde réel se fait au même endroit qu'au départ de celui-ci, donc pas de téléportation et ça le désavantage face aux embuscades. Le pouvoir s'active à partir du moment où Solus plonge un de ses yeux dans celui de sa proie, la personne ne doit donc pas être tournée ou porter un bandeau sur les yeux.
♦ Autre : ~

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Histoire

O. Prologue.
"Le coeur effectue ses derniers battements. Je n'ai que 16 ans quand je vois ce corps s'éteindre éternellement. Je regarde ma main maculée de gouttes de sang noirâtre, dont la texture semblable à de l'huile indique que le sang venait des artères de l'organe que je tentais d'opérer. Une fois posée, je renifle alors ce doux parfum sui generis apposer sur mes gants avec un constat clair et simple : L'humanité est incroyable et me transbahute via mes cinq sens."

I. Le Jour ou je suis né.
Je suis né près de Londres pour le travail de mon père et son intérêt pour moi et ma mère.  Mon père avait convaincu ma mère, alors enceinte de 7 mois de partir en vacances dans les grands espaces, afin qu'elle puisse profiter du grand air avant de me mettre au monde.J'ai du être sorti par césarienne. Malheureusement, ma génitrice eut un accident médical assez rare: Embolie amniotique.Cela entraîne des détresses respiratoires lorsque les matières fœtales rentrent dans les artères de l'utérus de la mère. L'opération s'est bien passée pour moi. Cependant, elle demeura fatale à ma mère. Ayant perdu trop de sang, elle agonisait  sur la table d'opération, devant les chirurgiens impuissants à la sauver. Comme si leur science-infuse était inutile.
Dans les bras de l'infirmière qui me tenait, je gesticulais en beuglant, cherchant la douce chaleur du sein maternel. Le cordon coupé, les médecins voulurent que ma mère puisse tenir son fils avant de s'en aller et me posèrent contre elle. Mes cris se turent et ma mère me serra contre elle. Celle-ci déposa son dernier souffle de vie sur la partie gauche de mon visage.
C'est ainsi que ma vie commença et que celle de ma procréatrice s'est éteinte. A jamais. C'est avec ce rapport avec la médecine dès mon premier jour que j'ai su que ma vie allait avoir un rapport direct avec celle-ci.

II. Une intellectualité pour faire le bien...

C'est à l'âge de 15 ans que j'ai obtenu mes diplomes orientés scientifique avec mention très bien, malgré tout de justesse. J'avais toujours été un élève brillant et surprenant d'après mes professeurs, mais ce n'était jamais assez pour moi. La soif d'apprendre, ça m'a toujours connu. Le nez plongé dans les bouquins : Autobiographie d'un virus - Eric Nataf; Mon préféré. Il m'arrivait toutefois d'aller traîner sur internet à la recherche de schéma détaillé du corps humain dans tous ces recoins. Cœur, veines, artères, os, parties intimes... Je me devais de tout connaitre. De tout posséder. De l'imprimer dans mon cerveau comme la lame d'un scalpel sur la chaire humaine. . L'anatomie et les tares du corps humain m'ayant toujours passionné tel que suggéré précédemment, je me suis naturellement tourné vers la médecine. Mon père dû déposer ma candidature à la faculté de médecine la plus proche afin de me faire rentrer. Le travail personnel allait encore s'embraser de plus belle il faut croire, d'autant plus que je ne délaissais en rien les autres domaines. J'apprenais toujours plus que le nécessaire en mathématiques et en physique chimie afin de m'imprégner le plus possible de ce que le monde pouvait m'offrir.

C'est en me servant de tutoriels de chirurgiens que j'ai pu apprendre à recoudre, mais surtout grâce à mon père qui dépensa aussitôt dans des instruments médicaux afin que je prenne de l'avance chez-moi. Il dépensait encore et encore sans compter, pour moi. Il travaillait dans le transhumanisme... Il me disait que c'était l'avenir, et que je devais le suivre et ne pas regarder le passé, derrière moi. J'ai pris tout de suite les bonnes habitudes. Toujours recoudre avec des gants car l'apport de ceux-ci rendent la manipulation bien plus dure qu'à mains nues. Véridique.

Un soir j'ai entendu un cochon beugler à la mort dans la ferme d'à côté. Le fermier ne semblait pas présent et j'ai alors pensé que c'était mon boulot. C'est ainsi que je ferme mon livre sur les xénobiotiques, une double-page consacrée aux pesticides en tout genre. Au travail.

J'ai saisi une mallette dont j'ai vidé le contenu puis remplacer par le mien. Je me suis alors déplacer tranquillement vers l'animal mourant et une fois en face avec lui, j'ai pris une lampe frontale afin d'examiner le corps de la bête. Identification de l'anatomie en cours. Diagnostic :

-Hémorragie externe, bestiole coupée à la patte à cause d'un débris métallique trouvée au sol. Le saignement n'est donc pas épistaxis où d'un quelconque orifice "naturel".

-Analyse du sang visuelle, évaluation de la quantité de sang.

Je me lève alors, deux doigts sur mon menton... Hum... Verdict : C'est une hémorragie d'origine traumatique cutané. Il y a un risque d'infection et l'hémorragie ne semble pas trop méchante. Je décide alors de désinfecter l'animal avant de le recoudre, et après. Pas besoin d'antibiothérapie vu les caractéristiques prises en compte...

Mon cœur battait de plus en plus, à chaque goutte de sang s'effondrant sur ma peau. J'écarquille alors mes yeux d'excitation.
"Tu es à moi..." je lui ai dis, en souriant.

III. Une intellectualité assoiffée.

La lune se montra comme à un rendez-vous avec moi, la nuit suivante de l' "opération" avec le porc. Je n'avais pas dormi de la soirée mais également de la journée. J'avais posé mes mains croisées contre le mur, ma tête appuyé contre le croisement de celles-ci. Elles tremblaient de manière terrifiante. Je me souviens avoir été effrayé, me demander si cela allait changer. J'ai réfléchi, encore et encore. Qu'est-ce que je devais faire pour arranger cela ? Une bonne nuit n'allait pas me faire de mal cette fois. Après tout, je venais d'avoir une idée.

Mon père partait en voyage pendant trois jours. Les congés étaient rares dans sa boîte. C'est beaucoup de travail, de bosser dans la science. Il se rendait à Paris. A lui Notre Dame, la Tour Eiffel et tous les beaux édifices, tandis que moi c'était les joies des révisions. Pendant son absence j'ai rédigé ma liste de choses à faire afin de mieux connaitre le corps humain et étancher ma soif de savoir. Ma première action de ma liste était une dissection du coeur d'un porc. L'idée m'est venue suite à l'intervention sur  l'animal d'il y a deux jours. Je voulais examiner les parties semblables à l'humain : les ventricules, oreillettes, artères et veines. Il me semblait également important de comprendre la circulation du sang dans cet élément si important dans l'anatomie du corps humain. Une autre dissection de ma liste était un oeil. Il ne me restait plus qu'à attendre le retour de mon père, je me suis donc mis à dévorer un autre de mes livres : Récits d'un jeune médecin, de Mikhaïl Boulgakov. La vieille médecine et la Russie des années 20, c'est un sujet intéressant...

Une fois que mon géniteur fut de retour, il n'a vu aucun inconvénient à ma dissection et il est donc parti chez le boucher chercher la meilleure pièce. Un coeur intacte, voilà ce que je voulais. Diantre que je suis perfectionniste, ça n'a jamais changé !
Je me souviens qu'une fois que mon père m'avait déposé l'organe dans un bac, sur une planche en bois, il m'a demandé en souriant : "Dis-moi quelque chose sur le coeur, fils."

Je lui ai répondu tout naturellement : "Le cœur est situé entre les poumons au milieu du thorax. C’est le moteur du système cardio-vasculaire qui sert à pomper le sang. Afin de répondre aux besoins énergétiques du corps, cet organe doit battre plus de 100 000 fois par jour. Pour fonctionner correctement, le cœur a besoin d’oxygène et de nutriments. Chaque moitié de coeur est indépendante l'une de l'autre."
Il a alors poser la main sur ma tête afin de me caresser les cheveux en me disant : "Tu es un garçon très intelligent, et tu es la fierté de notre petite famille. Ta mère serait fière de toi. Mais tu ne dois jamais oublier que ce n'est pas qu'un simple organe destiné à faire son travail. Ne réfléchis pas qu'avec ton coeur. Ressens avec lui. Aime."

"Merci, père."




IV. Une intellectualité tiraillée.

Plus je grandissais et m'approchais de la fin de mes études, plus je rêvais. Mais ce n'étaient pas des bons rêves. Plus des cauchemars... Je faisais des terreurs nocturnes et je me réveillais en criant à la mort. Je réveillais tout le voisinage, mon père s'empressait toujours de venir me voir alors que sa santé se dégradait au fil des années. A ses 50 ans, il venait toujours me voir en courant comme si il en avait 20.

A chacune de mes nuits je me sentais m'ouvrir. Je rêvais qu'on me disséquait vivant sans anesthésie, sans rien. La douleur physique et mentale était atroce, j'étais lucide et désespéré à chaque fois. A chacune de ces hallucinations, des cicatrices s'additionnaient jusqu'à ce que mon corps tout entier en soit recouvert. Mon père venait me prendre dans ses bras alors que j'avais 21 ans et nous avons pleurés ensemble chaque nuit, en se demandant quand tout cela allait enfin finir. Mes larmes se sont taries et j'ai perdu la capacité de pleurer. Mes cheveux devenaient blanc neige, et mon père semblait de plus en plus faible, je pensais que c'était l'âge et le surmenage. Mon père ne s'arrêtait jamais de travailler pour mettre le plus d'argent de côté pour moi, encore et encore. Il faisait toujours des heures supplémentaires  et ne prenait jamais congé. Il semblait de plus en plus sombrer dans la dépression du au manque de ma mère et de la perte de mes grands parents, je l'ai surpris plusieurs fois abuser de la drogue.

Lors de mes problèmes nocturnes, il était toujours là dans la minute, ça m'inquiétait. Je me disais qu'il devenait insomniaque, mais il me disait toujours qu'il n'avait aucun problème quand j'abordais la question. Quand il venait à mon chevet, il lui arrivait d'avoir du mal à tenir debout. Il me disait que c'est car il manquait de sommeil et il me promettait d'aller se coucher. J'en ai parler à mon professeur de fac et à son médecin traitant mais... Rien. Ils me disaient tous qu'il ne semblait avoir qu'une insomnie, rien de plus. Mon père reçut alors des somnifères et des anxiolytiques afin de l'aider, mais plus ça allait et plus je le voyais devenir... Différent. Il semblait plus morose, et parfois il divaguait, perdait la mémoire momentanément par rapport à des souvenirs secondaires. Cela m'inquiétait, j'en ai reparler et tous le monde pensait la même chose que moi : "Ce ne sont que des effets secondaires des médicaments, pas de panique il dort mieux, il n'en aura bientôt plus besoin."

Grossière erreur. Un jour, après ma journée chargée de 11 h d'étude, je suis rentré à la maison et j'ai retrouver mon parent dans son lit, paralysé de la poitrine à la gorge. Mon premier réflexe a été d'appeler le SAMU le plus vite possible et de vérifier que mon père respirait encore suffisamment, c'était le cas. Lors des cas impliquant une paralysie, il faut obligatoirement emmener le patient faire un examen neurologique à l'hôpital. La motricité du corps est commandée par une zone du cerveau qu'on appelle la frontale ascendante et la paralysie peut être due à une mauvaise ou à une irrigation non-existante.

Mon père a été emmené et vu que je n'avais pas finis mes études et que je faisais partie de la famille, je n'ai pas eu le droit de le suivre au bloc. J'étais là, impuissant, sans dormir de la nuit. A l'aube, l'hôpital m'a appelé et m'a signalé l'arrêt de la vie de mon père, tous les effets secondaires avaient étés passés inaperçu à cause des médicaments et la rareté de la maladie n'avait rien arrangé. Mon père était atteint d'une maladie dégénérative mortelle.

V. Deux Enterrements.

Les hommes font leur enterrement de vie de garçon la veille de leur mariage. Moi c'était lors de l'enterrement de mon paternel. C'est en jetant la terre sur le cercueil afin de le recouvrir que j'ai su que je ne pourrais définitivement plus être irresponsable. C'est en déposant des Edelweiss sur sa tombe que j'ai compris que la mort ne me faisait plus peur, mais que je ne voulais plus la voir arriver sans la contrecarrer. Je veux rendre les gens éternels, leurs souvenirs également. Je veux créer un endroit où on pourra aimer éternellement. Où le piano ne s'arrêtera jamais de jouer ses notes. Ou l'enfant ne sera plus séparer de la mère où du père. Où il pourra continuer d'être enlacer et lui offrir une réalité plus belle. Je ne suis plus le garçon que j'étais. Je ne suis plus celui qui rêve de devenir médecin et de sauver les gens.

C'est ainsi que je me souvenu des paroles de mon père: "Ne réfléchis pas qu'avec ton coeur. Ressens avec lui. Aime."

J'ai commencé à ressentir de l'amour pour tout, ma vision robotique des organes et la vision symbolique de mon procréateur se sont couplés afin de définir une nouvelle personnalité. Celle d'un futur docteur et véritable astre de la science, j'allais poursuivre dans la voie de la science mais dans celle de la physique-chimie, venant juste de finir mes études de médecine. J'allais avoir besoin d'exceler en physique, biologie et mathématiques... J'allais étudier la physique tout en me renseignant sur la biologie de l'être vivant par moi-même ! Apprendre des choses que l'étude lambda ne permet pas ! Expérimenter sur l'être humain !

Moi... Le désormais nommé Solus sas Laïus, je veux recréer la réalité et assouvir le rêve fou de créer un univers sans limites. Je veux... Aimer et donner à aimer ! Je veux tout gouverner ! Je veux incarner LA figure de divinité ! Je veux sentir mon coeur se torde de plaisir sous la souffrance des autres... Sous les cris, le sang qui gicle... Ils sont à moi. Vous êtes tous à moi. Je veux apprendre et jouer avec vous tous... Jusqu'à l'extase ! Jouons nos vies ! Toi qui me lis en ce moment, laisse moi mettre mes mains à l'intérieur de ton corps et sentir tes organes chauds, me laisser lâcher un soupir de plaisir sur tant de choses à disséquer et à analyser... Tout ça pour te recréer de toute pièce dans un univers parallèle où tu seras mon jouet pour tous les temps... Mon éternité, notre éternité...



Et toi, derrière l'écran ?



♦ Prénom ou surnom : Aaron.
♦ Anniversaire : 22/04/2001
♦ Activité : Aller en cours.
♦ Loisirs : Jouer, graph, dessiner, écrire, appeler des gens.
♦ Tu aimes : Les mêmes choses citées précédemment.
♦ Tu détestes : Les gens qui cherchent des problèmes.
♦ Ton rêve : Réussir ma vie ?
♦ Comment es-tu arrivé ici ? Ashu'.
♦ Des idées pour améliorer le forum ? J'en ai déjà fait part il me semble.
♦ Petit mot de fin :
Petit mot.:

Solus sas Laïus
Solus sas Laïus
Messages : 1
Date d'inscription : 16/07/2019
Localisation : Dans son monde.

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