He who desires but acts not, breeds pestilence. So it is written. [u.c]
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He who desires but acts not, breeds pestilence. So it is written. [u.c]
Willow Ezeckiel
Diamant
Statut : Élève Travail : error 404 Origines : Anglais Logement : Dortoir Émeraude Pouvoir : Alestorm Sexe : ♂ Âge : 20 ans Taille : 1m86 Yeux : Gris Cheveux : Noirs, deviennent blancs au-delà d'un certain seuil d'utilisation du pouvoir Peau : Caucasienne Corpulence : Svelte Avatar : V - Devil May Cry |
Mental Traits de caractère : Décrire votre personnage en quelques phrases. Aime : XXX Déteste : XXX Autre : XXX | Physique Décrire en quelques phrases l'apparence de votre personnage. |
Alestorm Rang maximal : B Description : Alestorm est le nom que Willow a donné à sa capacité à créer des portails de téléportation. Le principe est simple : un portail d'entrée est créé, et il peut y entrer à sa guise. Il a cependant besoin d'avoir dans son champ de vision l'endroit de sortie du portail avant de pouvoir l'emprunter, sans quoi il ne peut tout simplement pas y entrer. Visuellement, il s'agit d'un vortex dans les airs qui aspire sa cible en son centre. |
Histoire
L’histoire de Willow Ezeckiel... Pour y voir plus clair, nous devons remonter loin... Avant même sa naissance. Il faut d’abord comprendre la situation familiale de ses parents... Ou plutôt, de l’unique parent qu’il a connu : sa mère. Aurela Strife. Une jeune fille issue d’une famille riche d’Angleterre, à l’arbre généalogique remontant jusqu’à l’époque de Colomb. Une progéniture d’aristocrate, née avec une cuillère dans la bouche. Une lignée qu’elle s’est mise à maudire dès son plus jeune âge.
Aurela n’était pas faite pour la vie de petite princesse. Évidemment, tout enfant a sa petite période de rébellion qui vient tôt ou tard. Cette phase pendant laquelle on veut défier ses parents, renier leur autorité. Aurela n’a jamais donné de pause à cette période. Dès le départ, elle a détesté devoir apprendre à se tenir droite et parfaite, a détesté que l’on choisisse ce qu’elle portera pour la journée, a détesté ces soirées mondaines où même elle, du haut de ses onze ans arrivait à percevoir la pointe d’hypocrisie dans la voix et la tenue des adultes la saluant. Ce n’était pas une vie pour elle. Ça ne l’a jamais été. Depuis toute petite, son seul but était de se libérer de cette emprise familiale. Alors lorsqu’elle rencontra ce Bob, elle n’hésita pas un seul instant vouloir tout lui confier, du moment que cela lui permettait de partir.
Hélas, son empressement lui coûta cher. Elle était loin, bien loin d’avoir trouvé le bon. Mais elle était tombée amoureuse. Personne ne saurait dire si ces sentiments étaient éprouvés pour la liberté, ou bien pour ce Bob. Mais tant pis, elle s’enfuit tout de même du domicile familial. En aventure, avec son nouvel homme. Au petit âge de 17 ans. Avec Bob.
Oui, ce petit nom vous intrigue, n’est-ce pas ? Bob. Je parle bel et bien de mon géniteur ici. Bob Ezeckiel. Un imbécile d’adolescent à l’époque, qui n’a pas tardé à prendre la fuite après avoir passé du bon temps avec ma chère mère, Aurela. Je n’en sais que peu sur lui, pour tout vous dire. Un autre enfant bourgeois à l’époque, un arrogant faisant ce qu’il voulait. Aujourd’hui encore, j’aurais bien du mal à calmer les ardeurs de ma mère si jamais elle se met à m’en parler. Et cela remonte déjà à il y a vingt ans. Mais peut-être devrais-je reprendre l’histoire dans l’ordre...
L’histoire d’amour entre Aurela Strife et Bob Ezeckiel, donc. Les deux se sont rencontrés alors que ma chère mère s’était une fois de plus faite repérer par divers adultes lors d’une soirée organisée par ses parents. Elle n’avait encore que seize ans, et ses centres d’intérêts étaient à mille lieues de ceux des “vieux croûtons”, les appelait-elle. Aussi, rencontrer un jeune de son âge embarqué dans les mêmes broutilles barbantes avait quelque chose de rassurant. La suite, j’en ai déjà parlé : six mois plus tard, follement amoureuse, elle s’enfuit à bord d’un camping-car et commence un road-trip accompagné de son amant, non sans s’être assurée d’avoir “emprunté” à ses parents suffisamment d’argent pour tenir un bon bout de temps. Après tout, elle finirait par revenir, se disait-elle...
Hélas pour ma chère mère, tout ne se passa pas comme prévu. En réalité, il n’y eut qu’une erreur : ma conception. L’annonce de mon existence fit apparemment peur à mon géniteur. Comme un allergique, il se mit soigneusement à éviter Aurela, et dans un road trip à deux, c’était tout de même un exploit à saluer. Ce manège ne dura que quelques jours : le plus lâchement du monde, il prétexta aller faire des courses, et il ne revint simplement jamais. Ainsi, mère se retrouva seule, six mois après son départ. Riche, ou du moins plus riche que le gitan moyen, mais habitant un camping-car à dix-sept ans. Que faire à présent ? Elle se refusait de rentrer chez les Strife, elle y perdrait sa liberté, et la face. C’est peut-être pour ça qu’elle a décidé de vivre dans le déni, et s’est mise à penser que son amant reviendrait un jour. Car il était le symbole de sa liberté. C’est peut-être ce qui lui a permis de pas le détester. Mais je suis loin, bien loin de partager ses sentiments.
Tant pis. Si la seule solution pour le moment était de vagabonder... Eh bien soit. Aurela abandonna ce jour-là son nom de famille pour prendre celui d’Ezeckiel, et répondrait aux inconnus par le pseudonyme d’Aurela la Vagabonde. Telle fut sa résolution, confrontée à la solitude et sa grossesse. Certains salueraient son courage. D’autres conspueraient contre sa témérité. Quant à moi, pour tout vous dire, je ne me place d’aucun côté. Mes premiers souvenirs sont datés bien après ses premiers jours de célibataire dans la nature. Mais il paraît que ces jours-ci étaient loin, bien loin d’être faciles. Certes, elle avait l’argent nécessaire pour subvenir à ses besoins primaires, mais sa charge mentale était immense. Elle devait se préparer à vivre à deux, et ne pouvait compter sur personne pour lui apprendre. En s’enfuyant tel qu’elle l’avait fait, elle avait renoncé à tous ses contacts. Elle n’espérait rien des durs cœurs de l’aristocratie. C’était ce qu’on lui avait appris.
Ainsi, elle erra de ville en ville. Tant qu’il n’était pas encore trop tard, tant qu’elle pouvait encore voir du paysage sans affecter la santé du bébé grandissant en elle, elle voyagea. Elle fit éventuellement quelques rencontres sympathiques. Mais se refusait la moindre stabilité. Quelques jours, tout au plus quelques semaines au même endroit. Jamais plus d’un mois. Elle s’éloignait. Elle fuyait. Fuyait quoi, nul ne saurait le dire. Mais elle fuyait, sans jamais se retourner. Ainsi, le temps passa. Janvier, février, mars, avril. Et elle sentait son énergie s’amenuiser, lentement, mais cruellement. Mai. Sept mois qu’elle était enceinte. La voici à sa limite. Elle fut forcée de s’installer dans un petit village de campagne.
Elle eut de la chance. Les étrangers n’y étaient pas chassés, et même plutôt bien accueillis. C’était une communauté bienveillante. Elle en fut soulagée. Elle devint une résidente de l’auberge. Tout naturellement, elle payait ses nuits, et en même temps tenait à aider un peu le petit commerce. Ce qui les gênait un peu en soi : tous voyaient sa fatigue. Mais elle était si déterminée. On ne pouvait refuser son aide. En deux mois à peine, la plupart connaissaient déjà sa tête. Elle-même avait déjà ses amis. C’était une vie qui n’avait rien de déplaisant, si l’on oubliait qu’elle n’avait toujours pas de source de revenus.
Vint enfin le jour fatidique. Mon arrivée dans ce monde. Toute l’auberge s’était mobilisée pour Aurela. Pour rapporter ses mots, la journée fut “pénible, stressante, laisse tomber”. Néanmoins, les efforts finirent par payer. Lentement, mais sûrement, j’émergeai, pour prendre mes premières bouffées d’air. J’étais né. Moi, Willow Ezeckiel. Un grand jour de fête. Ma pauvre mère, exténuée fut harcelée de félicitations et de cadeaux pour le reste de la soirée. Exténuée, mais heureuse d’avoir mis au monde son petit prince.
(en cours)
Aurela n’était pas faite pour la vie de petite princesse. Évidemment, tout enfant a sa petite période de rébellion qui vient tôt ou tard. Cette phase pendant laquelle on veut défier ses parents, renier leur autorité. Aurela n’a jamais donné de pause à cette période. Dès le départ, elle a détesté devoir apprendre à se tenir droite et parfaite, a détesté que l’on choisisse ce qu’elle portera pour la journée, a détesté ces soirées mondaines où même elle, du haut de ses onze ans arrivait à percevoir la pointe d’hypocrisie dans la voix et la tenue des adultes la saluant. Ce n’était pas une vie pour elle. Ça ne l’a jamais été. Depuis toute petite, son seul but était de se libérer de cette emprise familiale. Alors lorsqu’elle rencontra ce Bob, elle n’hésita pas un seul instant vouloir tout lui confier, du moment que cela lui permettait de partir.
Hélas, son empressement lui coûta cher. Elle était loin, bien loin d’avoir trouvé le bon. Mais elle était tombée amoureuse. Personne ne saurait dire si ces sentiments étaient éprouvés pour la liberté, ou bien pour ce Bob. Mais tant pis, elle s’enfuit tout de même du domicile familial. En aventure, avec son nouvel homme. Au petit âge de 17 ans. Avec Bob.
Oui, ce petit nom vous intrigue, n’est-ce pas ? Bob. Je parle bel et bien de mon géniteur ici. Bob Ezeckiel. Un imbécile d’adolescent à l’époque, qui n’a pas tardé à prendre la fuite après avoir passé du bon temps avec ma chère mère, Aurela. Je n’en sais que peu sur lui, pour tout vous dire. Un autre enfant bourgeois à l’époque, un arrogant faisant ce qu’il voulait. Aujourd’hui encore, j’aurais bien du mal à calmer les ardeurs de ma mère si jamais elle se met à m’en parler. Et cela remonte déjà à il y a vingt ans. Mais peut-être devrais-je reprendre l’histoire dans l’ordre...
L’histoire d’amour entre Aurela Strife et Bob Ezeckiel, donc. Les deux se sont rencontrés alors que ma chère mère s’était une fois de plus faite repérer par divers adultes lors d’une soirée organisée par ses parents. Elle n’avait encore que seize ans, et ses centres d’intérêts étaient à mille lieues de ceux des “vieux croûtons”, les appelait-elle. Aussi, rencontrer un jeune de son âge embarqué dans les mêmes broutilles barbantes avait quelque chose de rassurant. La suite, j’en ai déjà parlé : six mois plus tard, follement amoureuse, elle s’enfuit à bord d’un camping-car et commence un road-trip accompagné de son amant, non sans s’être assurée d’avoir “emprunté” à ses parents suffisamment d’argent pour tenir un bon bout de temps. Après tout, elle finirait par revenir, se disait-elle...
Hélas pour ma chère mère, tout ne se passa pas comme prévu. En réalité, il n’y eut qu’une erreur : ma conception. L’annonce de mon existence fit apparemment peur à mon géniteur. Comme un allergique, il se mit soigneusement à éviter Aurela, et dans un road trip à deux, c’était tout de même un exploit à saluer. Ce manège ne dura que quelques jours : le plus lâchement du monde, il prétexta aller faire des courses, et il ne revint simplement jamais. Ainsi, mère se retrouva seule, six mois après son départ. Riche, ou du moins plus riche que le gitan moyen, mais habitant un camping-car à dix-sept ans. Que faire à présent ? Elle se refusait de rentrer chez les Strife, elle y perdrait sa liberté, et la face. C’est peut-être pour ça qu’elle a décidé de vivre dans le déni, et s’est mise à penser que son amant reviendrait un jour. Car il était le symbole de sa liberté. C’est peut-être ce qui lui a permis de pas le détester. Mais je suis loin, bien loin de partager ses sentiments.
Tant pis. Si la seule solution pour le moment était de vagabonder... Eh bien soit. Aurela abandonna ce jour-là son nom de famille pour prendre celui d’Ezeckiel, et répondrait aux inconnus par le pseudonyme d’Aurela la Vagabonde. Telle fut sa résolution, confrontée à la solitude et sa grossesse. Certains salueraient son courage. D’autres conspueraient contre sa témérité. Quant à moi, pour tout vous dire, je ne me place d’aucun côté. Mes premiers souvenirs sont datés bien après ses premiers jours de célibataire dans la nature. Mais il paraît que ces jours-ci étaient loin, bien loin d’être faciles. Certes, elle avait l’argent nécessaire pour subvenir à ses besoins primaires, mais sa charge mentale était immense. Elle devait se préparer à vivre à deux, et ne pouvait compter sur personne pour lui apprendre. En s’enfuyant tel qu’elle l’avait fait, elle avait renoncé à tous ses contacts. Elle n’espérait rien des durs cœurs de l’aristocratie. C’était ce qu’on lui avait appris.
Ainsi, elle erra de ville en ville. Tant qu’il n’était pas encore trop tard, tant qu’elle pouvait encore voir du paysage sans affecter la santé du bébé grandissant en elle, elle voyagea. Elle fit éventuellement quelques rencontres sympathiques. Mais se refusait la moindre stabilité. Quelques jours, tout au plus quelques semaines au même endroit. Jamais plus d’un mois. Elle s’éloignait. Elle fuyait. Fuyait quoi, nul ne saurait le dire. Mais elle fuyait, sans jamais se retourner. Ainsi, le temps passa. Janvier, février, mars, avril. Et elle sentait son énergie s’amenuiser, lentement, mais cruellement. Mai. Sept mois qu’elle était enceinte. La voici à sa limite. Elle fut forcée de s’installer dans un petit village de campagne.
Elle eut de la chance. Les étrangers n’y étaient pas chassés, et même plutôt bien accueillis. C’était une communauté bienveillante. Elle en fut soulagée. Elle devint une résidente de l’auberge. Tout naturellement, elle payait ses nuits, et en même temps tenait à aider un peu le petit commerce. Ce qui les gênait un peu en soi : tous voyaient sa fatigue. Mais elle était si déterminée. On ne pouvait refuser son aide. En deux mois à peine, la plupart connaissaient déjà sa tête. Elle-même avait déjà ses amis. C’était une vie qui n’avait rien de déplaisant, si l’on oubliait qu’elle n’avait toujours pas de source de revenus.
Vint enfin le jour fatidique. Mon arrivée dans ce monde. Toute l’auberge s’était mobilisée pour Aurela. Pour rapporter ses mots, la journée fut “pénible, stressante, laisse tomber”. Néanmoins, les efforts finirent par payer. Lentement, mais sûrement, j’émergeai, pour prendre mes premières bouffées d’air. J’étais né. Moi, Willow Ezeckiel. Un grand jour de fête. Ma pauvre mère, exténuée fut harcelée de félicitations et de cadeaux pour le reste de la soirée. Exténuée, mais heureuse d’avoir mis au monde son petit prince.
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Prénom ou surnom : L'Ultime Erreur du Staff
Anniversaire : 34/17/666
Activité : Casser des genoux
Loisirs : Casser le RP, justifier pourquoi je l'ai cassé puis le réparer
Tu aimes : Casser des trucs
Tu détestes : Invité
Ton rêve : Retrouver Warren
Comment es-tu arrivé ici ? En Avenger
Des idées pour améliorer le forum ? Me filer les droits pour que je commence à travailler
Petit mot de fin : Myo' directeur >>>>>
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Re: He who desires but acts not, breeds pestilence. So it is written. [u.c]
Ha bon ? Quelqu'un me détestais à ce point ? J'ai bien des petites idées, mais ça me titille de savoir plus précisément à qui j'aurai pu avoir à faire, quel dommage
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